Nous sommes le 21 juin 2014, il fait beau, chaud, les oiseaux chantent et les feux de forêts s'embrasent.
Les Modeux ont sorti les marcels et les autres, les tong-chaussettes.
Le sable commence à être déversé sur les quais pour Paris Plage.
Bref, l'été est la !
Et pour toi, jeune femme pétillante vivant à Paris, l'arrivée de l'été signifie trouver LE style qui te convient tout en suivant un minimum la tendance.
Parce que suivre la mode à Paris c'est pas évident tous les jours. Soyons honnête, l'été la capitale se transforme en une véritable fourmilière remplie de touristes crapahutant dans tous les sens et prenant des photos du moindre pavé orné d'un pigeon. L'air y est quasiment irrespirable dû à la pollution et aux différentes senteurs des gens qui suintent...
Alors, Parisienne, voila une solution qui pourra t'aider à traverser la période estivale sans encombre : le kit de survie spécial tendance de l'été.
Reprenons les choses dans l'ordre. Il fait 35 degrés, tu te balades vers Montmartre (ce quartier fourmille de bar sympa et l'étroitesse des ruelles de promet de l'ombre assez régulièrement). Mais le petit soucis de cet endroit ce sont les pavés au sol, et perché sur tes talons de 15 centimètres disons le clairement, tu douilles... MAIS miracle tu as emmené avec toi ton kit de survie qui contient les chaussures à la mode cet été les plateformes ! Au raz du sol ou d'une hauteur vertigineuse, les cuir perforée Trussardi ou les "club sandwich" de chez Prada, elles te permettent de marcher sur les pavés sans risquer la fracture de la cheville à chaque pas.
Soudain un copain t'appelle et te demande de le rejoindre sur les quais pour l'ouverture de Paris Plage. Tu rejoins alors la station de métro la plus proche, monte dans une rame bondée qui avoisine les 45 degrés, coincée entre un groupe de touristes polonais et le joueur d'accordéon qui joue pour la énième fois "La cucaracha". "Plus que cinq stations avant Stalingrad , ça devrait le faire...". Mais Le touriste n'est pas habitué au freinage du métro et trébuche, voulant se retenir à la barre, il lève son bras et...son aisselle atterrie directement sous tes sinus... Heureusement tu as toujours ton kit de survie qui contient comme par hasard un masque de protection, le petit model, en papier d'hôpital... Certes ce masque n'est pas esthétique, mais pourquoi ne pas le transformer un peu. Cet été l'art pictural est "à la mode"
Un petit coup de pinceau sur ton masque, une esquisse de bouche au fusain ou de l'abstrait à la craie grasse, et te voila prête à supporter les odeurs de Paris. Il n'est pas impossible d'en avoir plusieurs afin de l'accorder à tes différentes tenues.
Arrivée sur le sable fin tu remarques que la plupart des jeunes gens allongés sur les transats sont en maillot de bain et toi, dans ta jupe River Island tu te sens un peu trop vêtue. Mais dans ton kit de survie tu a pensé à rajouté ce petit maillot déniché sur Asos à un prix dérisoire, ce petit Nookie Beach à cœurs qui te fait ressemble à Brigitte Bardot dans les 60's. Tu te poses sur un transat et profite du soleil... bronzer en plein Paris entouré des klaxons des voitures et des cris des passants... Qu'y a t-il de mieux ?
Ce kit de survie aura sauvé ta journée. Alors Parisienne, non, il n'est pas en vente sur un site internet, il est artisanal, c'est à toi de le personnaliser en fonction de ton parcours journalier et de tes rencontres. Il prévoit l'imprévu et t'aide à surmonter les épreuves qui peuvent arrivées à tout moment. Profites en bien, et n'oublie pas il est déclinable pour la saison hivernale.
Caribou
lundi 28 avril 2014
samedi 5 avril 2014
L'intermittence
Les strass, les paillettes, le tapis rouge à Cannes.
Tu t'y vois déjà.
Tu sors de 3 ans d'études dans une école d'audiovisuelle parisienne. 3 ans à dépenser ton temps, ton énergie et 21000 € pour obtenir après tous ces efforts le Saint Graal, le passeport pour l'avenir : ton diplôme !
IL est imprimé sur un papier "ancien" enroulé dans un ruban rouge flamboyant et te promet un avenir sans turbulence.
Tu le sais, ton avenir est certain, tu recevras bientôt un césar pour la meilleure régie générale sur le dernier film de Xavier D.
Sauf que (oui il y a un "sauf que"), ce que le prof qui te remet ton fameux passe droit oublie de te dire c'est que ce beau métier, ce "métier passion" comme il l'appelle, va te faire tourner en bourrique pendant les 5 premières années de ta vie professionnelle.
Car après ton stage de fin d'étude, qui aura duré 2 mois et pendant lequel tu auras bossé 75 heures par semaines pour un salaire de 437.03€ par mois, tu te retrouveras dans l'inactivité la plus totale comptant les jours qui te séparent des vacances de tes amis avec impatience. Oui, parce que toi, tu es en vacances tout le temps, et tes potes t'envient et te disent des choses comme "putain, t'as trop de chance, si j'étais toi, j'irai me faire de c'te sorties, moi j'ai pas le temps, j'ai la tête dans le sac tout le temps j'en peux plus..."
Et toi dans ta Ford intérieure tu te dis que ta "chance", t'aimerai bien qu'elle tourne, parce que au bout de 8 mois de comatage intensif devant "Plus belle la vie" (série sur laquelle, soyons honnête, tu rêverais de bosser) tu n'as plus qu'une envie, prouver au monde que le minable petit bout de parchemin que tu as reçu à la fin de tes études n'est pas là par hasard.
Tu dois prouver au monde que tu mérite de travailler...
Et un beau matin (vers 11h35, oui tu te reveilles dans ces eaux la...) un copain t'appelle et te propose de le remplacer sur une émission à la con qui paye mal et où les horaires sont aussi illégaux qu'une prostituée violant un bébé mouton (c'est dire le niveau..)
Mais tu acceptes parce que le crédit de tes études ne va pas se rembourser tout seul et la marque de ton corps dans ton canapé commence à t'angoisser.
Oui, ça y est, tu as un pied dedans, dans le monde du SHOW BIZZ, des strass et des paillettes,
des horaires interminables, de la vie sociale qui perd tout son sens mais tu est ravi de bosser ENFIN !!
Si tu as été attentif au début, tu auras pu lire "5 ans" de galère. Nous n'en sommes qu'a une années. Sois tranquille, je ne vais pas relater les 4 années qui suivent.
Juste, saches que ce monde est un monde de requin, qu'il faut se battre pour y arriver, et même si parfois tu accepte de finir plus tard, en n'ayant pas les heures supplémentaires payées, tu risques d'avoir ce qu'on appelle un retour de bâton : tu ne seras même pas rappeler pour le tournage suivant..va savoir pourquoi... A être trop gentil on passe pour la bonne poire...
Alors jeune intermittent(e), oui, tu galères pour avoir ton statut et oui il faut se battre, mais non, ce n'est pas une raison pour fermer sa gueule et accepter tout et n'importe quoi... Tu peux refuser du travail s'il ne respecte pas tes convictions, après si tu n'en a aucune c'est un autre débat...
Tu t'y vois déjà.
Tu sors de 3 ans d'études dans une école d'audiovisuelle parisienne. 3 ans à dépenser ton temps, ton énergie et 21000 € pour obtenir après tous ces efforts le Saint Graal, le passeport pour l'avenir : ton diplôme !
IL est imprimé sur un papier "ancien" enroulé dans un ruban rouge flamboyant et te promet un avenir sans turbulence.
Tu le sais, ton avenir est certain, tu recevras bientôt un césar pour la meilleure régie générale sur le dernier film de Xavier D.
Sauf que (oui il y a un "sauf que"), ce que le prof qui te remet ton fameux passe droit oublie de te dire c'est que ce beau métier, ce "métier passion" comme il l'appelle, va te faire tourner en bourrique pendant les 5 premières années de ta vie professionnelle.
Car après ton stage de fin d'étude, qui aura duré 2 mois et pendant lequel tu auras bossé 75 heures par semaines pour un salaire de 437.03€ par mois, tu te retrouveras dans l'inactivité la plus totale comptant les jours qui te séparent des vacances de tes amis avec impatience. Oui, parce que toi, tu es en vacances tout le temps, et tes potes t'envient et te disent des choses comme "putain, t'as trop de chance, si j'étais toi, j'irai me faire de c'te sorties, moi j'ai pas le temps, j'ai la tête dans le sac tout le temps j'en peux plus..."
Et toi dans ta Ford intérieure tu te dis que ta "chance", t'aimerai bien qu'elle tourne, parce que au bout de 8 mois de comatage intensif devant "Plus belle la vie" (série sur laquelle, soyons honnête, tu rêverais de bosser) tu n'as plus qu'une envie, prouver au monde que le minable petit bout de parchemin que tu as reçu à la fin de tes études n'est pas là par hasard.
Tu dois prouver au monde que tu mérite de travailler...
Et un beau matin (vers 11h35, oui tu te reveilles dans ces eaux la...) un copain t'appelle et te propose de le remplacer sur une émission à la con qui paye mal et où les horaires sont aussi illégaux qu'une prostituée violant un bébé mouton (c'est dire le niveau..)
Mais tu acceptes parce que le crédit de tes études ne va pas se rembourser tout seul et la marque de ton corps dans ton canapé commence à t'angoisser.
Oui, ça y est, tu as un pied dedans, dans le monde du SHOW BIZZ, des strass et des paillettes,
des horaires interminables, de la vie sociale qui perd tout son sens mais tu est ravi de bosser ENFIN !!
Si tu as été attentif au début, tu auras pu lire "5 ans" de galère. Nous n'en sommes qu'a une années. Sois tranquille, je ne vais pas relater les 4 années qui suivent.
Juste, saches que ce monde est un monde de requin, qu'il faut se battre pour y arriver, et même si parfois tu accepte de finir plus tard, en n'ayant pas les heures supplémentaires payées, tu risques d'avoir ce qu'on appelle un retour de bâton : tu ne seras même pas rappeler pour le tournage suivant..va savoir pourquoi... A être trop gentil on passe pour la bonne poire...
Alors jeune intermittent(e), oui, tu galères pour avoir ton statut et oui il faut se battre, mais non, ce n'est pas une raison pour fermer sa gueule et accepter tout et n'importe quoi... Tu peux refuser du travail s'il ne respecte pas tes convictions, après si tu n'en a aucune c'est un autre débat...
jeudi 6 mars 2014
Pour (ne pas) vivre seul
Ça y est, j'ai les clefs, celles de mon paradis, mon nirvana, de la liberté (oxymore ?), de mon intimité, bref de MON appart.
Il est beau, sent le neuf, la peinture et ressemble trait pour trait à la page 47 du catalogue Ikéa. Mais c'est Mon chez moi !!
Quand on a son premier appart, on se fait la promesse de le tenir propre même si un obus venait traverser le mur. On sort des réflexions comme: "le trou là ? Non c'est rien, je vis y mettre un cadre en bois patiné et ça donnera du cachet".
On se promet que le frigo sera toujours rempli de produits frais et bons.
On se promet que la vaisselle sera faite tous les jours et les cheveux dans la douche ramassés tous les matins.
Qu'il y aura toujours une bonne bouteille si des potes débarquent à l'improviste et on est persuadé que les voisins seront les premiers à venir éponger le sol de la cuisine en cas de fuite d'eau. Que la proximité de la fenêtre de celui d'en face est vachement pratique si on n'a plus de sel.
Bref, tout est bon pour faire de cet appart le nouveau monde.
Mais cette vision est de courte durée...2 mois environ.
Dépassé ce délai, le laisser-aller commence.
Le frigo se vide de ses produits hors de prix et laisse place aux produits surgelés dans le congélateur. Des produits préparés qui ne nécessitent pour vaisselle qu'une fourchette en plastique (réutilisable ?) car la phobie de l'éponge te hante et la vue du liquide vaisselle te donne de l'urticaire.
Alors les jours où tu te réveilles à 13h avec un mal de crâne à décoiffer un chauve après le passage improvisé de tes potes, tu te rappelles ta soirée et surtout ton ancienne promesse de la bonne bouteille car de toute évidence, le cubi de rosé pamp' à 2€ n'est pas ce que le Petit Robert appelle un bon vin... Ta gorge te brûle et crie famine, tu as besoin d'eau alors, tu traînes ton cadavre jusqu'à la cuisine. Et là c'est le drame, ton évier est rempli de vaisselle sale et collante et pas l'ombre d'un verre semi-propre à l'horizon.. Mais où est passée ta promesse de la vaisselle ? Ton éponge a l'air d'un caillou mort. l'eau stagnante qui recouvre la vaisselle est jaunâtre, un ami bienveillant y aurait-il versé du Pec citron ? Les bouts de pizza qui y flottent te prouvent le contraire...
Tant pis tu bois dans tes mains, c'est la seule façon pour éviter d'attraper la malaria.
Tu ouvres machinalement ton frigo et y trouves une conserve de coulis de tomate vieille de 2 semaine et un pot de crème fraîche qui pourrait servir de référence pour la datation au carbon 14, bref rien de comestible, encore moins de digérable.
Alors tu te recouches, le ventre vide et la gorge en feu. Tu es prêt à retourner dans les bras de Morphée quand ton voisin du rez-de-chaussée décide d'ouvrir sa fenêtre pour faire profiter à tout le monde du bruit émanant de sont 15 m² occupé par une équipe de foot (remplaçants compris).
La musique folklorique t'empêche de dormir et les odeurs envahissent ton appartement.
TU DOIS DORMIR !!!
Alors tu ouvres ta fenêtre, branche tes enceintes et choisis sur ta playlist un morceau agressif du groupe de rock allemand que ton ami adore. Ça devrait les calmer...pendant un temps...le temps de rejoindre le pays des rêves où la vaisselle brille, le voisin est canon et où l'espace se dilate et permet à tous tes rêves de se loger.
Il est beau, sent le neuf, la peinture et ressemble trait pour trait à la page 47 du catalogue Ikéa. Mais c'est Mon chez moi !!
Quand on a son premier appart, on se fait la promesse de le tenir propre même si un obus venait traverser le mur. On sort des réflexions comme: "le trou là ? Non c'est rien, je vis y mettre un cadre en bois patiné et ça donnera du cachet".
On se promet que le frigo sera toujours rempli de produits frais et bons.
On se promet que la vaisselle sera faite tous les jours et les cheveux dans la douche ramassés tous les matins.
Qu'il y aura toujours une bonne bouteille si des potes débarquent à l'improviste et on est persuadé que les voisins seront les premiers à venir éponger le sol de la cuisine en cas de fuite d'eau. Que la proximité de la fenêtre de celui d'en face est vachement pratique si on n'a plus de sel.
Bref, tout est bon pour faire de cet appart le nouveau monde.
Mais cette vision est de courte durée...2 mois environ.
Dépassé ce délai, le laisser-aller commence.
Le frigo se vide de ses produits hors de prix et laisse place aux produits surgelés dans le congélateur. Des produits préparés qui ne nécessitent pour vaisselle qu'une fourchette en plastique (réutilisable ?) car la phobie de l'éponge te hante et la vue du liquide vaisselle te donne de l'urticaire.
Alors les jours où tu te réveilles à 13h avec un mal de crâne à décoiffer un chauve après le passage improvisé de tes potes, tu te rappelles ta soirée et surtout ton ancienne promesse de la bonne bouteille car de toute évidence, le cubi de rosé pamp' à 2€ n'est pas ce que le Petit Robert appelle un bon vin... Ta gorge te brûle et crie famine, tu as besoin d'eau alors, tu traînes ton cadavre jusqu'à la cuisine. Et là c'est le drame, ton évier est rempli de vaisselle sale et collante et pas l'ombre d'un verre semi-propre à l'horizon.. Mais où est passée ta promesse de la vaisselle ? Ton éponge a l'air d'un caillou mort. l'eau stagnante qui recouvre la vaisselle est jaunâtre, un ami bienveillant y aurait-il versé du Pec citron ? Les bouts de pizza qui y flottent te prouvent le contraire...
Tant pis tu bois dans tes mains, c'est la seule façon pour éviter d'attraper la malaria.
Tu ouvres machinalement ton frigo et y trouves une conserve de coulis de tomate vieille de 2 semaine et un pot de crème fraîche qui pourrait servir de référence pour la datation au carbon 14, bref rien de comestible, encore moins de digérable.
Alors tu te recouches, le ventre vide et la gorge en feu. Tu es prêt à retourner dans les bras de Morphée quand ton voisin du rez-de-chaussée décide d'ouvrir sa fenêtre pour faire profiter à tout le monde du bruit émanant de sont 15 m² occupé par une équipe de foot (remplaçants compris).
La musique folklorique t'empêche de dormir et les odeurs envahissent ton appartement.
TU DOIS DORMIR !!!
Alors tu ouvres ta fenêtre, branche tes enceintes et choisis sur ta playlist un morceau agressif du groupe de rock allemand que ton ami adore. Ça devrait les calmer...pendant un temps...le temps de rejoindre le pays des rêves où la vaisselle brille, le voisin est canon et où l'espace se dilate et permet à tous tes rêves de se loger.
quand on s'emmerde, les poils poussent plus vite
Tout le monde dans sa vie a déjà eu au moins une soirée inoubliable. Le genre de soirée où tu connais qu'une personne qui elle ne connais qu'une personne aussi, qui connais deux personnes qui elles connaissent tout le monde. Donc dans ce genre de soirée, après avoir fais la bise à une quarantaine de joues totalement inconnues et après avoir répété 21 fois ton prénom (oui je sais 40 divisé par 2 ça fait 20, mais y'a toujours un mec qui comprend pas comment tu t'appelles), tu te dis dans ta Ford interieure que, ne connaissant qu'une personne, tu vas rester avec elle. Le blem c'est que cette personne a aussi décidé de rester avec l'autre personne qu'elle connais (c'est a dire pas toi...) donc tu te retrouves seul comme un con au milieu d'inconnus. Et au bout d'une heure environ tu te découvres un tas d'atomes crochus avec une personne exceptionnelle et super fidèle, le serpent sur ton téléphone NOKIA (oui, oui, celui qui bouffe des pixels a longueur de journée et qui a une poussée de croissance ultra rapide). Malheureusement cette amitié va etre de courte durée puisque a un moment tu vas forcement battre de recors de Pépé (117...) et que a cet instant ton nokia émet une musique de victoire nationale genre la musique de remise de médailles des J.O de Turin et que par conséquant, les 40 joues se tournent vers toi et te regarde comme si tu étais folle.
Forcement tu dis aurevoir a ton super pote et tu cherches une nouvelle façon de faire le moins potiche possible. Et la tu lèves la tête au ciel (oui la soirée est dehors), donc tu lèves la tête et tu commences a chercher des figures dans les nuages et, y'a un truc qui est dingue quand tu t'emmerdes c'est que dans un même nuage, tu peux rencontrer Nemo, Denvers (le dernier dinosaure) un lapin, un dragon, ta grand-mère, et j'en passe...
Mais bon, un nuage n'est pas éternel et a la fin t'as surtout mal au cou, donc tu baisses la tête et tu t'aperçois que la seule personne que tu connais a disparu et que tout les autre on au moins 21 ans, qu'ils font tous Médecine, Maths Sup, ou Polytechnique et que toi quand on te demande où t'en est dans tes études, tu réponds que tu passes en Première ES parce que tu a redoublé ta Seconde. Et là, en une phrase, tu deviens la plus jeune de la soirée et aussi la plus conne puisque tu a redoublé. Après cette sortie aux conséquences désastreuses, tu te promets de n'ouvrir ta bouche que pour manger. Et la généralement c'est le moment ou tu t'emmerde graves (bah oui, t'a utilisé tous tes jeux en solitaire, ou bien t'oses pas les faire pour préserver ta future vie social...). Et la il te vient une phrase a laquelle t'aurais jamais pensé penser...: "putin dire que en ce moment, mes poils poussent...". Et c'est vrai...Les poils poussent tout le temps. Et tu te dis: "j'aimerai bien être un poil". Bah oui, un poil c'est tout seul mais il n'a pas le temps de s'emmerder, il pousse a longueur de journée.
Oui, tu aimerais être un poil...Donc t'imagines ta vie de poil solitaire derrière un mollet, un poil tout doux, blond de préférence pour éviter le rasage ou l'épilation, et tu te sents super bien dans la peau de ce petit poil et quand enfin tu arrives a reprendre goût a la vie et a sortir les tendances suicidaires de ton esprit, y'a toujours un couple qui vient s'installer tranquillement a côté de toi et qui se bécote a mort. Et là, s'en et trop...Tu décides de ne pas te laisser traiter comme ça, et tu décides de rentrer chez toi pour bien montrer à tous ces gens que la soirée est nulle. Donc tu te casses en croyant avoir été assez visible et bien comprise par tous ces gens mais au moment ou tu te lèves du canapé, le couple en profite et s'allonge (ba ouai...c'est plus confo...).
Et la tu te dis:
"J'aimerai tellement être un poil..."
Forcement tu dis aurevoir a ton super pote et tu cherches une nouvelle façon de faire le moins potiche possible. Et la tu lèves la tête au ciel (oui la soirée est dehors), donc tu lèves la tête et tu commences a chercher des figures dans les nuages et, y'a un truc qui est dingue quand tu t'emmerdes c'est que dans un même nuage, tu peux rencontrer Nemo, Denvers (le dernier dinosaure) un lapin, un dragon, ta grand-mère, et j'en passe...
Mais bon, un nuage n'est pas éternel et a la fin t'as surtout mal au cou, donc tu baisses la tête et tu t'aperçois que la seule personne que tu connais a disparu et que tout les autre on au moins 21 ans, qu'ils font tous Médecine, Maths Sup, ou Polytechnique et que toi quand on te demande où t'en est dans tes études, tu réponds que tu passes en Première ES parce que tu a redoublé ta Seconde. Et là, en une phrase, tu deviens la plus jeune de la soirée et aussi la plus conne puisque tu a redoublé. Après cette sortie aux conséquences désastreuses, tu te promets de n'ouvrir ta bouche que pour manger. Et la généralement c'est le moment ou tu t'emmerde graves (bah oui, t'a utilisé tous tes jeux en solitaire, ou bien t'oses pas les faire pour préserver ta future vie social...). Et la il te vient une phrase a laquelle t'aurais jamais pensé penser...: "putin dire que en ce moment, mes poils poussent...". Et c'est vrai...Les poils poussent tout le temps. Et tu te dis: "j'aimerai bien être un poil". Bah oui, un poil c'est tout seul mais il n'a pas le temps de s'emmerder, il pousse a longueur de journée.
Oui, tu aimerais être un poil...Donc t'imagines ta vie de poil solitaire derrière un mollet, un poil tout doux, blond de préférence pour éviter le rasage ou l'épilation, et tu te sents super bien dans la peau de ce petit poil et quand enfin tu arrives a reprendre goût a la vie et a sortir les tendances suicidaires de ton esprit, y'a toujours un couple qui vient s'installer tranquillement a côté de toi et qui se bécote a mort. Et là, s'en et trop...Tu décides de ne pas te laisser traiter comme ça, et tu décides de rentrer chez toi pour bien montrer à tous ces gens que la soirée est nulle. Donc tu te casses en croyant avoir été assez visible et bien comprise par tous ces gens mais au moment ou tu te lèves du canapé, le couple en profite et s'allonge (ba ouai...c'est plus confo...).
Et la tu te dis:
"J'aimerai tellement être un poil..."
Chasse et peche (ou la vie d'une crevette sur Viacru-sur-Rien)
Cette nuit, ne pouvant pas dormir, je me suis posée sur TF1 et je suis tombée sur une émission particulièrement passionnante..."Un port, des marins, et la mer". Un titre qui aurait pu éventuellement passer comme a peu près normal si il n'était pas suivi d'un sous titre :"les copains du Port-des-Barques". Donc, ne trouvant pas le sommeil naturelement, je me suis dis que la méthode de l'émission soporiphique pouvait marcher...Et bien non !!!. Parce que sur TF1, ils arrivent a rendre pasionnante une emission ou les principaux acteurs au en moyenne 85 ans, qu'ils s'appellent tous Bernard, Roger, Michel et Monique, qu'ils sont tous vachement sappés a la mode (oui oui, celle de 1956), et qui ont tous la même passion dans la vie, la Pêche...
Donc ces personnes (agées) passent la plupart de leur temps dans des marecages a cherché des crevettes naine du col de Bersac...et quand ils l'ont trouvé, ils se précipitent vers le caméraman pour lui montrer une crevette naine du col de Bersac...Une crevette telement minuscule que le cameraman doit faire un zoom de 600x500 pour pouvoir observer correctement la bestiole...Et apparament le cameraman fait parti aussi de ces passionnés de pêche, puisqu'il pose des questions, et qu'en plus elles sont coérentes...
(je suis persuadé qu'il y a une école speciales cameraman de peche...ou ils apprennent a faire des zooms de 600x500 pour pouvoir voir correctemement la crevette du col de Bersac...)
Et dans cette emission ont a aussi droit a des reportage sur des pecheurs, qui eux sont en bateau, et qui peche le Framion de la mer de Strassouille...
J'ai aussi eu droit a une interview de Gégé, pecheur de pere en fils (c'est la 14eme génération). Gégé lui est pecheur de moules.
" Oui, donc, moi, je peche la moule, mais bon, c'est pas trop la bonne periode,, géneralement, on la peche entre Mars et Aout mais bon...on est le 28 Fevrier...je ne sais pas si ça sera bon, mais...avec un peu de chance...donc la on peu observer une meduse bleu dans mes filets, faut faire vachement gaffe, c'est toxique...ah tiens, une moule...Ah, c'est une moyenne..."
enfin bref, j'imagine que ça vous a soulé ce que vous venez de lire, et bien c'est pire a entendre...
Et quand ils ont terminé leur dure journée de labeur, tous nos copains les pecheurs, s'en vont au "Petit Friand" le bar des pecheurs ou il reigne toujours "une folle ambiance !!!" Et évidemment ils sont obliger de manger un plat de crevette du col de Bersac (oui oui, a 16h de l'aprem...) Et allez savoir pourquoi, tous les pecheurs ne savent pas manger...faut toujours qu'ils aient des morceaux de crevettes entre les dents ou un bout de moule sur la bouche...
Et après ces deux heures de pure culture générale...le sommeil est enfin venu...et je me suis endormi en entendant le générique de fin...un truc du genre..."et la marine, et la marine et la marine gnagnagnagna...et la marine et la marine et la marine gnagnagnagna...!!!!"Chasse et peche (ou la vie d'une crevette sur Viacru-sur-Rien)
1 février 2010, 02:28
Donc ces personnes (agées) passent la plupart de leur temps dans des marecages a cherché des crevettes naine du col de Bersac...et quand ils l'ont trouvé, ils se précipitent vers le caméraman pour lui montrer une crevette naine du col de Bersac...Une crevette telement minuscule que le cameraman doit faire un zoom de 600x500 pour pouvoir observer correctement la bestiole...Et apparament le cameraman fait parti aussi de ces passionnés de pêche, puisqu'il pose des questions, et qu'en plus elles sont coérentes...
(je suis persuadé qu'il y a une école speciales cameraman de peche...ou ils apprennent a faire des zooms de 600x500 pour pouvoir voir correctemement la crevette du col de Bersac...)
Et dans cette emission ont a aussi droit a des reportage sur des pecheurs, qui eux sont en bateau, et qui peche le Framion de la mer de Strassouille...
J'ai aussi eu droit a une interview de Gégé, pecheur de pere en fils (c'est la 14eme génération). Gégé lui est pecheur de moules.
" Oui, donc, moi, je peche la moule, mais bon, c'est pas trop la bonne periode,, géneralement, on la peche entre Mars et Aout mais bon...on est le 28 Fevrier...je ne sais pas si ça sera bon, mais...avec un peu de chance...donc la on peu observer une meduse bleu dans mes filets, faut faire vachement gaffe, c'est toxique...ah tiens, une moule...Ah, c'est une moyenne..."
enfin bref, j'imagine que ça vous a soulé ce que vous venez de lire, et bien c'est pire a entendre...
Et quand ils ont terminé leur dure journée de labeur, tous nos copains les pecheurs, s'en vont au "Petit Friand" le bar des pecheurs ou il reigne toujours "une folle ambiance !!!" Et évidemment ils sont obliger de manger un plat de crevette du col de Bersac (oui oui, a 16h de l'aprem...) Et allez savoir pourquoi, tous les pecheurs ne savent pas manger...faut toujours qu'ils aient des morceaux de crevettes entre les dents ou un bout de moule sur la bouche...
Et après ces deux heures de pure culture générale...le sommeil est enfin venu...et je me suis endormi en entendant le générique de fin...un truc du genre..."et la marine, et la marine et la marine gnagnagnagna...et la marine et la marine et la marine gnagnagnagna...!!!!"Chasse et peche (ou la vie d'une crevette sur Viacru-sur-Rien)
1 février 2010, 02:28
L'ingénu
Après avoir lus Glamour n°45 avec Kylie Minogue en couverture, je me suis dis que il fallait quand même que je me mette serieusement au travail. Y'en a qui fume après l'amour, moi je travail après Glamour...
Parce que écrire un article façon journal sur l'intéret de lire l'Ingénu de Voltaire, demande énormément de concentration...si si je vous jure...
bon, aller un peu de serieux...mais pas trop quand même...
Voltaire a écrit l'Ingénu en 1767. C'est l'histoire d'un jeune Huron (l'Ingénu), qui, en voyage en Bretagne, rencontre sa famille dont il n'avait jamais entendu parler (déja le début, sa ressemble un peu a la saga du dimanche sur M6...). Et bien sur un roman n'en ai pas un s'il n'est pas pimenté d'une fabuleuse histoire d'amour impossible...oui parce que notre Huron tombe amoureux de sa marraine, Mademoiselle de saint-Yves, qu'il ne peut pas épousé, justement parce que elle est sa marraine...(je vous avais bien dis que c'était une saga...). Donc pour pouvoir épouser sa belle, le huron s'en va a la capital pour demander l'autorisation au roi en personne d'épouser mademoiselle de Saint-Yves...Mais (oui parce que il y a toujours un "mais") notre héro va, au cours de son voyage, rencontrer des tonnes d'obstacles. Mais ne vous inquiétez pas, Voltaire un plus d'un tour dans sa besasse et le Huron, va réussir a s'en sortir tout seul, comme un grand...(franchement, il est trop trop fort quoi...). Il réussit, au cours de son périple a aider des gens qu'il ne connais même pas, a se faire incarséré a la Bastille (sorte de Fleuri-mérogisse de l'époque) et d'en sortir sans aucune sequelles mentale ou physique...Bien sure, a la fin il épouse sa bien-aimée et il vécur heureux et eurent beaucoup d'enfants...A bah enfait non, parce que Voltaire qui n'est pas un scénariste des Walt Disney, nous offre une fin pour le moins triste et funebre...Oui, mademoiselle de Saint-Yves décede.
mais quel est l'intéret de lire ce livre me direz-vous ?
c'est une excélente question, et je vais être franche, je me la pose encore...non je rigole
L'intéret mesdames et messieurs, c'est que ce livre, mis a part qu'il fait parti de la grande littérature du 18em siecle, nous offre une vision de la bourgeoisie française qui vivait dans un coins vraiment pomé de la bretagne. Que cette oeuvre a le géni de réunir en une centaine de page, une histoire d'amour, impossible certe, mais histoire d'amour quand même; une famille méconnu puis découverte; un drame; de l'action (ba si, a mon avis l'entrée la Bastille n'a pas due se faire sans encombre), enfin bref, tout ce qu'il faut a un livre pour être aprécié de tous...
Parce que écrire un article façon journal sur l'intéret de lire l'Ingénu de Voltaire, demande énormément de concentration...si si je vous jure...
bon, aller un peu de serieux...mais pas trop quand même...
Voltaire a écrit l'Ingénu en 1767. C'est l'histoire d'un jeune Huron (l'Ingénu), qui, en voyage en Bretagne, rencontre sa famille dont il n'avait jamais entendu parler (déja le début, sa ressemble un peu a la saga du dimanche sur M6...). Et bien sur un roman n'en ai pas un s'il n'est pas pimenté d'une fabuleuse histoire d'amour impossible...oui parce que notre Huron tombe amoureux de sa marraine, Mademoiselle de saint-Yves, qu'il ne peut pas épousé, justement parce que elle est sa marraine...(je vous avais bien dis que c'était une saga...). Donc pour pouvoir épouser sa belle, le huron s'en va a la capital pour demander l'autorisation au roi en personne d'épouser mademoiselle de Saint-Yves...Mais (oui parce que il y a toujours un "mais") notre héro va, au cours de son voyage, rencontrer des tonnes d'obstacles. Mais ne vous inquiétez pas, Voltaire un plus d'un tour dans sa besasse et le Huron, va réussir a s'en sortir tout seul, comme un grand...(franchement, il est trop trop fort quoi...). Il réussit, au cours de son périple a aider des gens qu'il ne connais même pas, a se faire incarséré a la Bastille (sorte de Fleuri-mérogisse de l'époque) et d'en sortir sans aucune sequelles mentale ou physique...Bien sure, a la fin il épouse sa bien-aimée et il vécur heureux et eurent beaucoup d'enfants...A bah enfait non, parce que Voltaire qui n'est pas un scénariste des Walt Disney, nous offre une fin pour le moins triste et funebre...Oui, mademoiselle de Saint-Yves décede.
mais quel est l'intéret de lire ce livre me direz-vous ?
c'est une excélente question, et je vais être franche, je me la pose encore...non je rigole
L'intéret mesdames et messieurs, c'est que ce livre, mis a part qu'il fait parti de la grande littérature du 18em siecle, nous offre une vision de la bourgeoisie française qui vivait dans un coins vraiment pomé de la bretagne. Que cette oeuvre a le géni de réunir en une centaine de page, une histoire d'amour, impossible certe, mais histoire d'amour quand même; une famille méconnu puis découverte; un drame; de l'action (ba si, a mon avis l'entrée la Bastille n'a pas due se faire sans encombre), enfin bref, tout ce qu'il faut a un livre pour être aprécié de tous...
les Born to Pete ta gueule
Les Born to pête ta gueule sont des êtres a part entiere, qui vivent dans leur propre monde. Un monde que l'on pourrait touts simplement résumer a ...heu...a un ring de boxe, un monde où tous les coups sont permis...
Les Born to pête ta gueule ne doivent surtout pas être confondu avec les Born to pete de la gueule (même si, il faut l'avouer, il font l'objet d'un sujet tout a fait passionnant...).
Les Born to Pête ta gueule vivent généralement en comunautée privée, où le mot de passe pour y entrer est assez...particulier.
En effet, pour accéder à cette société, il n'est pas forcé d'être foutu comme un sumo obèse, non non non, le physique d'une simple ramasseuse de balle au tournois de Roland Garos est amplement suffisant. Oui, car chez les Born to Pête ta gueule, ce n'est pas le physique qui compte, c'est le mentale.
Là par contre, les examens d'entrée sont plus dure que ceux d'Henri IV.
Pour être Born to Pête ta gueule, il faut avoir au minimum le mentale d'un caniche à bouclette enragé (ou d'un bulldog sous sédatif, on peut le prendre dans les deux sens)...enfin bref, il faut une haine hors du commun contre la vie et les gens autour de soi pour pouvoir se considérer comme un Born To Pête ta gueule. Oui, le Born to Pête ta gueule est un fouteur de merde professionnel,en gros avec le bac option Pête ta gueule où seuls les points au dessus de la moyenne comptent (généralement l'examen se passe sans problème, c'est normal...le candidat est attaché...).
Mais me direz-vous, à quoi reconnait-on un Born To Pête ta gueule ?
Ils sont très facile a repérer. tout d'abord, ils sont en bande, rigolent haut et fort et se prennent tout simplement pour Louis XIV et nous traitent tout simplement de ...heu rien...
Un petit exemple (attention, c'est du vécu) un groupe d'amis qui s'est séparé de quelques un des ses membres, décide de garder quelques places à la cantine pour leur frères de cœur...Ils s'installent donc à une table assez grande pour contenir toute leur petite Smala...
Le déjeuné commence, l'ambiance est incroyable, on parle philo, Freud et Staline (bon, ok, c'est pas vrai, on discute de la nouvelle BD de télé Z. ET ALORS !!!!)
Enfin bref, les membres manquants ne sont toujours pas arrivés, c'est alors que surgit un groupe de Born to pête ta gueule, des femelles... elles commencent à s'installer a la table de notre groupe d'amis, mais sont stoppées par une des fille du groupe qui leur dit d'un ton tout à fait calme est sympathique "excusez-moi, mais les places sont réservées, on attend encore du monde...".
C'est là que l'une des Born to Pête ta gueule ouvre la sienne et lui dit avec une sorte de faux accent de bled "h1, résairvet ? vazy ssa exziste pa résairvet issi...pffff vazy s'ai n1paurtnaouak...résairvet...c'ai pa lotaile iltonne issi..." et elles s'assoient...
Voila le triste destin de nous, pauvre gens qui devons subir les crises de démences de ces pauvre Born to pête ta gueule...
Les Born to pête ta gueule ne doivent surtout pas être confondu avec les Born to pete de la gueule (même si, il faut l'avouer, il font l'objet d'un sujet tout a fait passionnant...).
Les Born to Pête ta gueule vivent généralement en comunautée privée, où le mot de passe pour y entrer est assez...particulier.
En effet, pour accéder à cette société, il n'est pas forcé d'être foutu comme un sumo obèse, non non non, le physique d'une simple ramasseuse de balle au tournois de Roland Garos est amplement suffisant. Oui, car chez les Born to Pête ta gueule, ce n'est pas le physique qui compte, c'est le mentale.
Là par contre, les examens d'entrée sont plus dure que ceux d'Henri IV.
Pour être Born to Pête ta gueule, il faut avoir au minimum le mentale d'un caniche à bouclette enragé (ou d'un bulldog sous sédatif, on peut le prendre dans les deux sens)...enfin bref, il faut une haine hors du commun contre la vie et les gens autour de soi pour pouvoir se considérer comme un Born To Pête ta gueule. Oui, le Born to Pête ta gueule est un fouteur de merde professionnel,en gros avec le bac option Pête ta gueule où seuls les points au dessus de la moyenne comptent (généralement l'examen se passe sans problème, c'est normal...le candidat est attaché...).
Mais me direz-vous, à quoi reconnait-on un Born To Pête ta gueule ?
Ils sont très facile a repérer. tout d'abord, ils sont en bande, rigolent haut et fort et se prennent tout simplement pour Louis XIV et nous traitent tout simplement de ...heu rien...
Un petit exemple (attention, c'est du vécu) un groupe d'amis qui s'est séparé de quelques un des ses membres, décide de garder quelques places à la cantine pour leur frères de cœur...Ils s'installent donc à une table assez grande pour contenir toute leur petite Smala...
Le déjeuné commence, l'ambiance est incroyable, on parle philo, Freud et Staline (bon, ok, c'est pas vrai, on discute de la nouvelle BD de télé Z. ET ALORS !!!!)
Enfin bref, les membres manquants ne sont toujours pas arrivés, c'est alors que surgit un groupe de Born to pête ta gueule, des femelles... elles commencent à s'installer a la table de notre groupe d'amis, mais sont stoppées par une des fille du groupe qui leur dit d'un ton tout à fait calme est sympathique "excusez-moi, mais les places sont réservées, on attend encore du monde...".
C'est là que l'une des Born to Pête ta gueule ouvre la sienne et lui dit avec une sorte de faux accent de bled "h1, résairvet ? vazy ssa exziste pa résairvet issi...pffff vazy s'ai n1paurtnaouak...résairvet...c'ai pa lotaile iltonne issi..." et elles s'assoient...
Voila le triste destin de nous, pauvre gens qui devons subir les crises de démences de ces pauvre Born to pête ta gueule...
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